
Chapitre 9:
J'ai fermé les yeux et j'ai savouré ce baiser. Tu ne m'as pas repoussé. Tu as serré ma main plus fort et tu as toi aussi fermé les yeux. J'ai vécu tellement de belles, de magnifiques, de parfaites secondes à tes côtés. Celles la en faisait parti. Elles étaient douces et nerveuses. Elles étaient avec toi et à jamais dans ma mémoire. C'est moi qui ait du reculer le premier. Sans le vouloir, j'avais arrêté de respirer. Je t'ai regardé, essoufflé. Tu avais toujours les paupières fermées, les lèvres entrouvertes et les joues rouges. J'ai frôlé ta joue brulante. Lorsque tu t'es décidé à lever les yeux vers moi, une larme est tombée sur ta joue et a lentement glissé. On s'est regardé. Le silence planait. Je pouvais sentir leur surprise. Mes mains étaient toujours moites. Je n'osais pas enlever mon regard de tes yeux. Je me suis demandé si j'avais pris la bonne décision. Pendant un instant, j'ai regretté. Personne ne bougeait. Personne ne parlait. Mais tout le monde avait les yeux braqués sur nous. Tu n'as pas lâché ma main. J'ai jeté un coup d'½il vers la porte. J'ai caressé ta main avec mon pouce. Puis je t'ai tiré derrière moi. J'ai ouvert la porte d'entrée puis je suis partis en courant dehors, sans prendre la peine de la refermer. J'ai serré tellement fort ta main que j'ai crus que j'allais casser tes os. Mais je ne voulais pas te perdre. Je ne voulais pas faire demi-tour. On est partis dans la nuit, sans savoir où aller.
On a couru longtemps main dans main. On allait au hasard dans les rues. On s'est rapproché du parc. On s'est arrêté devant les grilles. Il était fermé à cette heure-ci. J'ai avalé ma salive et j'ai essayé de reprendre une respiration normale. Tu n'as pas lâché ma main. Je t'ai regardé en me demandant dans quoi je t'avais embarqué. Après tout, tu n'avais rien choisi. Tes yeux bleus me dévisageaient. Je les voyais luire dans la nuit. Je t'ai souri puis j'ai été pris d'un fou rire. J'ai regardé le ciel sombre, toujours en riant et en secouant la tête. Tu m'as regardé sans comprendre mais un sourire sur les lèvres. J'ai tourné les yeux vers toi. Oui un vrai sourire. Je ne pouvais pas m'arrêter de rire.
- Quoi ? tu m'as demandé.
- Je t'aime. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. J'aime Niall James Horan !
J'ai crié ces mots aussi forts que je le pouvais. Je voulais que le monde entier soit au courant. Je t'ai embrassé. Je t'ai embrassé longtemps. Tu t'es laissé faire puis tu m'as poussé doucement.
- T'es con, tu vas réveiller tout le quartier.
Je t'ai souris. J'ai posé mon front contre le tien et j'ai murmuré :
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Mon sourire s'est agrandi. Je me suis tourné vers les grilles.
- Viens.
J'ai commencé à agripper un barreau puis je me suis hissé sur le grand portail. J'ai continué à grimper en haut puis j'ai enjambé délicatement la grille. J'ai descendu quelques barreaux puis je me suis laissé tomber. J'ai atterris sur mes pieds.
- Allez, viens. C'est facile.
Tu as imité mes gestes et tu es retombé à côté de moi sans difficulté. J'ai regardé devant nous. Le parc était sombre. Il semblait n'y avoir personne. J'ai déposé un baiser sur tes lèvres et j'ai repris ta main. On a couru en suivant le chemin de gravier puis j'ai décidé de couper par la pelouse. On est allé au fond du parc, dans le coin le plus sombre, puis on s'est effondré sur l'herbe. Mon rire s'est mêlé au tien. On regardait la lune en essayant de reprendre notre souffle. L'air que j'expirais créait une fumée blanche qui se fondait dans la tienne. Il faisait froid mais on avait tout les deux les joues rougis par l'excitation. J'ai tourné les yeux vers toi. Ton regard était levé dans le ciel. Tes cheveux étaient en bataille. Tu arrachais des brins d'herbes machinalement. Ton visage se détachait de la nuit à la lueur de la lune. Elle dessinait tes contours parfaitement, faisant briller tes yeux. Sans quitter le ciel du regard, tu m'as demandé :
- On sera heureux maintenant ?
J'ai regardé dans la même direction que toi en serrant ta main dans la mienne.
- On l'était déjà avant... C'est juste qu'on avait trop de choses à penser et à cacher pour s'en apercevoir.
- ... J'ai peur.
- Moi aussi. Mais je suis sur qu'ils comprendront. Ils ne pourront pas faire autrement. On s'aime et on ne va pas se séparer et éloigner notre bonheur juste pour quelques personnes. On ne vit qu'une fois, tu te rappelles ?
Lemon
En réalité, moi aussi j'avais peur. Je ne savais pas comment appréhendait la chose. C'était l'inconnu, un peu comme une nouvelle vie. Une vie pour nous deux. Juste toi et moi. Tu m'as regardé. J'ai détourné la tête pour t'apercevoir. On s'est fixé, les yeux dans les yeux. L'adrénaline faisait battre mon c½ur à cent à l'heure. Tu t'es mordu les lèvres. Je me suis rapproché jusqu'à pouvoir les atteindre. J'y ai déposé un baiser furtif puis tu t'es penché pour reprendre ce baiser. J'ai glissé une main sur ton torse et l'autre dans tes cheveux. J'ai fermé les yeux. J'ai sentis ta paume froide contre mon cou. Nos respirations se sont accélérées. Nos gestes aussi. Je me suis relevé pour me mettre à califourchon sur toi sans quitter tes lèvres. J'ai passé une main sous ton tee-shirt. Tu as mis ta main sur ma nuque. J'ai eu un moment d'hésitation. Je me suis écarté pour pouvoir te regarder. Je t'ai interrogé du regard. Tu m'as souri en hochant imperceptiblement la tête. J'ai souri à mon tour et tu m'as attiré contre toi. Mon c½ur s'est emballé. Nos baisers se sont faits plus sauvages. J'ai enlevé ton tee-shirt et tu t'es occupé du mien. Il faisait froid mais ton corps était brulant. J'imagine que le mien était aussi chaud. Je sentais à peine la brise glaciale qui caressait mon dos. Je me concentrais sur tes mains. Elles étaient positionnées sur mes hanches. On entendait seulement nos respirations et nos mouvements. Tu as embrassé mon cou et y a laissé un suçon. J'ai collé un peu plus mon bassin au tien. J'ai put sentir une bosse dans ton pantalon. J'ai souri contre tes dents et j'ai descendu mes mains jusqu'à ton bas-ventre. J'ai baissé lentement ton pantalon jusqu'à tes genoux. Mes gestes étaient un peu maladroits. Je ne savais pas comment m'y prendre. J'étais sorti avec beaucoup de fille. J'avais profité de la vie. Mais ça n'avais jamais était aussi sérieux. Aussi intense. Ça n'avait jamais été avec un homme. Je ne sais pas si j'étais stressé par ce fait ou parce que tu étais celui avec qui je voulais passer le reste de ma vie. Tu étais celui que je ne voulais pas décevoir. Tu as passé tes mains sur mon torse puis tu les as descendus vers mon pantalon. J'ai sentis mon sang accéléré dans mes veines. Mon boxer devenait trop petit. J'ai poussé un soupir d'empressement. Tu as enlevé mon pantalon. Je t'ai un peu aidé car ma position n'était pas pratique pour le faire glisser sur mes jambes. J'ai dut me lever, le descendre jusqu'au sol puis je suis revenue à ma place. On s'est regardé dans cette pénombre et on a rigolé. Je me suis rapproché de ton visage et tu es venue m'embrasser. J'ai mordu ta lèvre. Tes mains sont revenues sur mes hanches. Tu n'osais pas faire le premier pas. Je me suis relevé et tu as reposé ta tête sur l'herbe. Je t'ai vu grimacer et tu as passé une main derrière ton crâne pour enlever un caillou. On s'est remis à rigoler dans la nuit. J'ai embrassé ton front. La prochaine fois serait certainement mieux. Mais il fallait bien une première fois, non ? Je me suis redressé et j'ai commencé à dessiner des formes sur ton torse du bout des doigts. Je suis monté jusqu'à ta gorge. J'ai fais le contour de ta mâchoire, je suis descendu, j'ai fais le contour de tes tétons, je suis descendus encore plus bas, lentement en enlevant un brin d'herbe sur ton ventre. Mon sourire ne s'effaçait pas. Rien n'aurait put l'enlever de mon visage. C'était le moment le plus parfaitement imparfait de toute ma vie. Je suis arrivé à la bordure de ton boxer. Tu étais de plus en plus excité. J'ai descendu encore mes mains pour caresser la bosse qui se dessinait. Tu as poussé un gémissement. J'ai baissé ton sous vêtement. J'ai levé les yeux vers toi. Tu me regardais, l'air un peu gêné. Même s'il n'y avait aucune lumière autour de nous, je pouvais deviner que tes joues étaient rouges. J'ai essayé de te rassurer d'un regard mais moi-même je ne savais pas vraiment quoi faire. J'ai pris ton sexe entre ma main pour commencer à te masturber. Tu semblais te décontracter. J'ai décidé de te faire ce que j'aurai voulu me faire. J'ai accéléré de plus en plus les mouvements. Tes yeux étaient mi-clos. Je voulais essayer quelque chose mais je ne savais pas comment réellement m'y prendre. Je t'ai regardé sans cesser mes mouvements. Je me suis reculé sur tes jambes et j'ai enlevé mes mains. Tu n'as pas relevé la tête. J'ai baissé les yeux, puis après un moment d'hésitation, je me suis baissé pour embrasser ta verge durcie. Je t'ai senti frissonner. Je l'ai prise entièrement en bouche. J'ai commencé des mouvements discrets. Je ne savais pas ce que ça te faisait. Mais tu avais l'air d'apprécier. Tu as enfoui tes mains dans mes cheveux et j'ai accéléré le mouvement. Tu t'es cambré sous le désir en crispant tes mains. Tu as lâché un gémissement. J'ai continué quelques instants, puis lentement, je me suis redressé. Tu as lâché un soupir pour protester. J'ai souri et je me suis de nouveau avancé pour goûter à tes lèvres. Tu n'as pas enlevé tes mains de mes cheveux. J'ai descendu ma main pour caresser ton entrejambe et je l'ai reprise entre mes mains. A chacun de mes mouvements, mon désir grandissait. Mes gestes se faisaient plus précipités, j'avais les joues brulantes. Tout mon corps était en feu. Sans le vouloir, j'ai mordu ta langue. Tu as dut arrêter le baiser un instant avant de revenir chercher mes lèvres. Tu as mis toute ta volonté pour prendre ma main et la poser un peu plus haut. Tu as chuchoté à mon oreille que c'était mon tour. J'ai fermé les yeux et je t'ai laissé échanger les rôles. Tu étais à présent au-dessus de moi. J'ai rouvert les yeux pour admirer ma vue. Tu as rigolé et tu as relevé mon menton pour que je puisse te voir. Tu as plongé tes yeux dans les miens. Cela n'a duré qu'un instant parce que je n'en pouvais plus. Je t'ai donné un coup de hanche pour que tu comprennes. Ton sourire s'est agrandi et tu as finalement baissé mon boxer. Tu as pris ma verge entre tes mains, sans vraiment serrer. Tu as fais quelques mouvements de vas et viens puis tes gestes se sont fais de plus en plus assurés. J'ai fermé les yeux pour profiter encore plus des sensations. Des frissons parcouraient mon corps. J'avais du mal à calmer ma respiration. J'ai serré les poings. Puis tu as arrêté. J'ai froncé les sourcils puis je t'ai senti bouger. Un sourire à glisser sur mes lèvres. Tu as pris ma verge dure dans ta bouche et tu m'as imité. J'ai poussé un grognement. Je me suis mordu les lèvres pour résister. Mais je n'ai pas tenu longtemps et avant que je ne puisse t'avertir, je me suis vidé dans ta bouche. Tu t'es reculé immédiatement, surpris, et tu as recraché la semence sur la pelouse en toussant. Je me suis redressé sur mes coudes.
- Ca va ?...Désolé...
Tu m'as fais un geste de la main pour me dire que tout allait bien en continuant de tousser. Je me suis mis à rigoler. Tu as craché une dernière fois puis tu m'as regardé en t'essuyant la bouche. Tu es revenue sur moi et tu as repris notre baiser. J'ai roulé pour pouvoir être de nouveau sur toi et je t'ai admiré. Tu étais en sueur et essoufflé, comme moi. J'ai écarté une mèche collé à ton front et j'ai fermé les yeux. Tu m'as embrassé langoureusement tandis que j'ai repris ta verge qui n'avait pas désenflé antre mes mains. J'ai fais de rapide mouvements et tu as finis par te vider entre mes mains en poussant un long soupir. Je me suis allongé près de toi en soupirant. J'ai tendu le bras pour atteindre ma veste et sortir un paquet de mouchoir. J'ai essuyé le liquide blanchâtre qui avait éclaboussé sur ton ventre. Tu m'as laissé faire. On avait tout les deux un sourire idiot qui étiraient nos lèvres. Tout en caressant ton ventre avec le mouchoir je t'ai demandé :
- Alors, ça à quel goût ?
Tu as rigolé et tu m'as donné une frappe sur l'épaule :
- T'es con.
J'ai embrassé ton nez. J'aimais bien te taquiner parfois. J'ai rigolé avec toi puis je suis devenue de nouveau sérieux. Une question brulait mes lèvres.
- Niall...
- Oui ?
- Tu... Comment...
- C'était magique.
On s'est regardé droit dans les yeux. Un sourire a découvert mes dents et tu m'as embrassé.
Fin du lemon
Ensuite, on a enfilé nos jeans avant de se recoucher dans l'herbe. Tu as posé ta tête sur mon torse et tu as fermé les yeux. Nous n'irons pas plus loin cette nuit-là. Je crois que cette journée avait été assez riche en émotions. Et ce qu'on venait de faire était magique. Oui, peut-être que j'aurai aimé essayer encore d'autres choses avec toi mais je ne voulais pas que tu te sentes forcé. Je voulais tout découvrir avec toi. Mais une prochaine fois. A ce moment-là, je pensais que nous avions encore l'éternité.
Le rythme de mon c½ur s'est peu à peu calmé. La température de mon corps a baissé. Une brise est venue nous balayer. J'ai ramené mon blouson sur ta peau nu et je t'ai regardé t'endormir. Moi, je ne dormirai pas cette nuit-là. J'étais trop excité pour fermer les yeux. Et je ne voulais pas prendre le risque de te perdre. J'avais peur que tu t'envoles. J'avais peur de me réveiller et de me rendre compte que tout cela n'était qu'un rêve. Alors j'ai passé le reste de la nuit à te regarder amoureusement, à jouer avec tes cheveux, à caresser ta joue.
Au petit matin, j'ai dut te réveiller. Je ne voulais pas briser cette atmosphère magique. Le temps était un peu humide, quelques oiseaux chantonnaient et le reste était silencieux. Je t'ai embrassé sur la joue et j'ai murmuré ton nom à ton oreille. Tu as bougé un peu mais tu ne t'es pas vraiment réveillé. Puis tu as pris conscience de l'herbe sous ta paume. Tu t'es réveillé en sursaut en regardant autour de toi. Puis tes yeux m'ont trouvé et tu t'es remémoré les derniers évènements. Un sourire est venu éclairer ton visage. Tu avais les traits tirés et la marque des brins d'herbes sur un de tes bras. Je ne devais pas être mieux. Je t'ai souris et tu m'as embrassé timidement pour me dire bonjour.
- Il faudrait qu'on parte avant que quelqu'un ne nous surprenne... ai-je dis.
- Euh ouai... Ce serait préférable.
J'adorais ta voix au matin. Elle était un peu rauque mais je trouvais ça mignon. J'ai passé une main sur mon visage puis on s'est levé. On ramassé nos tee-shirts mouillés par la rosée. On les a mis à la hâte et je t'ai donné mon blouson. Tu as hésité avant de l'accepter. Mais je préférais être malade à ta place. On a escaladé les grilles comme la veille et on s'est remis à faire le chemin en sens inverse.
Au fur et à mesure qu'on s'approchait de la maison, mon c½ur s'affolait un peu plus. J'avais les mains moites. J'appréhendais leurs réactions. C'est peut-être con, mais j'avais peur qu'ils devinent ce qu'on avait fait cette nuit. J'avais peur de les éc½urer. Je voulais que tout ça reste secret, juste entre nous deux. Puis je stressais pour rien. Comment pouvait-il le deviner ? Parce qu'on s'était absenté toute la nuit, qu'on avait les cheveux en bataille, le visage fatigué, de l'herbe sur nos habits et que j'avais un suçon dans le cou ? Bizarrement, mon c½ur a raté un battement. J'ai essayé d'arranger mes cheveux comme je le pouvais mais je savais que ça ne servait en rien. J'ai vu que tu étais dans le même état que moi. Tu ne savais pas où poser tes yeux, tu tirais nerveusement sur ton tee-shirt. J'ai attrapé ta main. Tu m'as regardé, effrayé que quelqu'un nous surprenne mains dans la main en pleine rue. J'ai haussé les épaules.
- Au point où on en est...
Tu as à ton tour haussé les épaules et tu semblais te détendre, un peu. Tu as serré ma main et on a continué notre marche. Alors qu'on arrivait au coin de la rue, tu as pris la parole :
- Comment je vais faire ? On va peut-être régler ce problème, notre problème. Mais il y a encore Alexia, il y a toujours que je veux partir du groupe...
- Chhut... Chaque chose en son temps. On arrivera à tout régler. Ca va peut-être prendre un peu de temps, mais on y arrivera.
J'ai déposé un baiser dans ton cou pour te rassurer un peu plus. Tu m'as regardé sans rien dire. Je t'ai souri et tu m'as imité. Mais j'ai eu mal. Parce que je voyais que ce sourire sonnait faux. Et je ne voulais pas que tu retombes comme avant. J'ai pressé un peu plus ta main. Non, je ne voulais pas te perdre. On y arriverait. Quelle était cette phrase que je ne cessais de me répéter déjà ? Oh oui. Les choses allaient s'arranger. Peut-être pas comme je le souhaiterais, mais je ferais tout pour ton bonheur. Même si ton bonheur doit me déchirer le c½ur, je le ferais. Le rire que j'entendrais ensuite sera ma récompense. Il soignera mon c½ur. Et on pourra rire pour un rien, comme avant.
On s'est rapproché de la villa. J'ai poussé le portillon et je t'ai laissé passer devant. On s'est avancé jusqu'au porche où nous sommes restés silencieux quelques secondes. On fixait la porte sans un mot. Tu as abaissé la poignée doucement mais la porte résistait. Elle était fermée à clef. Alors, à contre c½ur, j'ai appuyé sur la sonnette. Tu as juste eu le temps d'attraper ma main avant que la porte ne s'ouvre.
1D-00, Posté le mercredi 30 janvier 2013 09:20
alor la jadore le moment que zayn et niall
partage tout les 2
mm si sété la 1er fois pour tout les 2